Toiles

Imer, artiste peintre et plasticien, explore l’art sans limites. Sa créativité s’exprime à travers des œuvres modernes mêlant peinture et création plastique. Adepte de la récupération, il transforme des objets chinés en pièces uniques, cette démarche est bien plus qu’un simple acte créatif : c’est un moyen de faire pénétrer la rue dans les salons tout en soulevant des questions cruciales sur notre manière de consommer qui caractérise notre société moderne.

Ses choix artistiques s’articulent autour de thèmes provocateurs, interrogeant les dérives de notre époque, notamment à travers sa série de détournements. Il collabore souvent avec d’autres artistes pour élargir les dimensions de ses œuvres en valorisant le partage comme source d’inspiration. Imer explore la matière avec passion, offrant des jeux visuels entre les dimensions 2D et 3D.

Dans ses créations, il réussit à fusionner harmonieusement des éléments du passé avec une esthétique moderne et audacieuse. Chaque œuvre raconte une histoire, incitant les spectateurs à réfléchir profondément sur la société et sur la capacité de l’art à transcender les barrières temporelles et culturelles, nous invitant ainsi à remettre en question le monde qui nous entoure.

DÉTOURNEMENT

« Détournement » est une série composée de peintures anciennes détournées par Imer. Ce sont des œuvres originales ou des reproductions chinées dans des brocantes qui ont inspirées l’artiste par leurs représentations de scène de vie quotidienne ou de portraits. Imer s’approprie le support, en transformant ou en incorporant des éléments contemporains dans la peinture originale. Il raconte ainsi une nouvelle histoire, en fusionnant le passé et le présent, et choisi de dénoncer les problèmes de notre société avec des références à la pollution, au confinement, à la guerre et aux dérives de la technologie… L’esthétique du graffiti est omniprésente, elle permet de créer un contraste fort entre l’ancien et le contemporain. Contraste renforcé par l’intégration d’icônes ou d’éléments de langages jeunes, qui provoque des situations cocasses. Ce qui permet de créer de l’amusement pour amener plus facilement à la réflexion.

Rue Parallèle

L’exposition « Rue Parallèle, organisée par Réseau Culture, met en lumière la collaboration artistique entre Imer et le sculpteur F. Anolis.
Lors de leur résidence au Centre culturel des Mazades et à la Passerelle Négreneys (Toulouse), les deux artistes ont réfléchi à la manière dont l’art s’intègre dans la vie urbaine, en explorant le quartier des Minimes. Leur inspiration a été tirée de l’architecture du quartier et s’est exprimée à travers les teintes pastel qui le caractérisent, donnant ainsi lieu à une série d’oeuvres homogènes.
Contraint de ne pas utiliser d’aérosol, Imer a saisi l’occasion pour expérimenter de nouvelles techniques artistiques en fusionnant abstraction et figuration. Il rend hommage au quartier toulousain qui l’avait accueilli quelques années auparavant en nommant chacune de ses 13 oeuvres avec des noms de rue locale. Ces choix d’adresse deviennent ainsi des récits per- sonnels, invitant les spectateurs à la réflexion et à l’interprétation, tout en mettant en avant la connexion profonde entre l’artiste et son environnement.

Peintre Imer 1992 Toulouse - Socrate

Socrate

| MUSÉE DE LA RÉSITANCE

L’exposition « Rue Parallèle, organisée par Réseau Culture, met en lumière la collaboration artistique entre Imer et le sculpteur F. Anolis.

Lors de leur résidence au Centre culturel des Mazades et à la Passerelle Négreneys (Toulouse), les deux artistes ont réfléchi à la manière dont l’art s’intègre dans la vie urbaine, en explorant le quartier des Minimes. Leur inspiration a été tirée de l’architecture du quartier et s’est exprimée à travers les teintes pastel qui le caractérisent, donnant ainsi lieu à une série d’œuvres homogènes.

Contraint de ne pas utiliser d’aérosol, Imer a saisi l’occasion pour expérimenter de nouvelles techniques artistiques en fusionnant abstraction et figuration. Il rend hommage au quartier toulousain qui l’avait accueilli quelques années auparavant en nommant chacune de ses 13 œuvres avec des noms de rue locale. Ces choix d’adresse deviennent ainsi des récits personnels, invitant les spectateurs à la réflexion et à l’interprétation, tout en mettant en avant la connexion profonde entre l’artiste et son environnement.

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